L’orage nous a surpris
Trempés nous avons cherché l’abri
Sous ce kiosque à musique
L’instant est magique
*
Tes cheveux mouillés ruissellent
Sur ton visage des gouttes tels des perles
Que je recueille comme une sève
Du bout de mes lèvres
*
Sur ton visage des gouttes tels des perles
Que je recueille comme une sève
Du bout de mes lèvres
*
Ton regard pénétrant
M’invite empressant
A poursuivre ma découverte
Par ta chemise ouverte
*
M’invite empressant
A poursuivre ma découverte
Par ta chemise ouverte
*
Au creux de ma bouche
Palpite ton cœur qui me touche
Dans la profondeur de mon amour
Comme un compte à rebours
*
Palpite ton cœur qui me touche
Dans la profondeur de mon amour
Comme un compte à rebours
*
Alors à ton tour tu explores
Les parcelles de mon corps qui t’implore
Ton souffle chaud au creux de mon cou
Me fait un effet sensuellement fou
*
Les parcelles de mon corps qui t’implore
Ton souffle chaud au creux de mon cou
Me fait un effet sensuellement fou
*
Nos sens en émoi s’affolent
Dans d’autres cieux je m’envole
Enveloppée dans une volupté
De nos deux corps par le désir envoûtés
*
Dans d’autres cieux je m’envole
Enveloppée dans une volupté
De nos deux corps par le désir envoûtés
*
L’orage s’apaise comme nos corps épuisés
Laissant planer de la nature ses odeurs boisés
Je garde dans mon cœur le goût de ta peau
A la saveur salée de l’eau
*
Laissant planer de la nature ses odeurs boisés
Je garde dans mon cœur le goût de ta peau
A la saveur salée de l’eau
*
D’une mer déchaînée par nos ardeurs
10 commentaires:
« Une raison d’être » vient de disparaître !
Une fenêtre s’est fermée, la pièce est devenu e sombre et mon âme qui souffre, s’endort dans la pénombre !
Mon esprit agonisant, cherchant réconfort compensatoire, vient de trouver dans ce blog, nouvelle raison d’espoir !
Merci, L’artiste !
J’imagine qu’il n’est pas toujours facile de concilier vie, rêve, labeur, extase, j’imagine que la poésie est une double personnalité qui s’assume naturellement car elle est en toi, elle vit en toi, elle souffre en toi et avec toi elle s’en ira vers le dernier lendemain !
Je crois à la souffrance sans malheur !... Si non le poète ne pourrait pas souffrir son bonheur !
Le poète a le cœur qui chante en versant de larmes de tristesse ou le cœur qui pleure en versant des larmes de bonheur, il met à jour le fond de soi sans que soi le paraisse!
Le poète s’habille d’un manteau sombre pour protéger son esprit rêveur !
Le poète ne rit qu’avec son cœur et sous un aspect de malheur il cache son bonheur !
Le poète ne l’est jamais par formation, il l’est uniquement par vocation en se laissant bercer de la divine inspiration !
Le poète n’est qu’instrument telle la marionnette animée par les ficelles, il ne dicte, il n’invente, il ne crée, il s’abandonne à son être et s’admire de la même admiration qu’on lui porte car lui est aussi surpris que l’agréable surprise du message qui, par enchantement, se dessine sur le papier !
Le poète n’est jamais lui, lui n’est que le messager d’une inspiration d’ailleurs!
Si je devais décrire le poète, je ne le ferais mieux que ça, je l’ai fait de cette manière, je ne me l’explique pas !
Ainsi je le pense, tite sœur, émerveille-nous toujours, avec tes vers d’amour, et de tes phrases de bonheur !
Donne du bonheur autour de toi sans jamais oublier que les premiers amours se donnent d’abord aux amours de notre vie, que le temps qui nous reste de libre est celui qui ne manque pas au bonheur des nôtres, que la charité ne se fait qu’au détriment de soi mais jamais à celui de nos amours.
Gros bisous d’encouragement.
Elso
Ola Gwen
superbe et magnifique renaissance !!!
petite cachotière !!!!
à bientôt
Cher Elso,
En effet, "une raison d'être" a été victime des humeur changeante et des hormones d'une femme enceinte... J'ai réalisé trop tard à quel point je m'étais puni en constatant que j'avais perdu des commentaires qui me tenaient trés à coeur.
Tu me donnes là la plus belle description du poète que je n'ai jamais lu, un vrai poème !
Merci Elso tes mots me vont droit au coeur comme chacun de tes commentaires, merci beaucoups
Hello Hugo,
Une page s'est fermée pour en laisser une autre s'ouvrir comme on dit, j'espères que ce blog plaira autant que son prédécésseur.
Je suis heureuse de constater que le tient est de plus en plus visité car il le mérite amplement, félicitations
Belle découverte que ce nouveau lieu en bleu douceur et avec vos mots-poésies, Gwen !!!
Je reviendrais lire tout doucement...
Bonne continuation ici et en famille !
Merci Fifi,
Je devrais passer vous voir sur votre blog aujourd'hui, je m'en réjouis d'avance, à bientôt donc
Hello Gwen, heureuse de te lire à nouveau surtout avec ce poème d'amour si beau, nous avons eu la même idée concernant le sujet qui est l'orage.
Gros bisous ma douce et longue vie à ton nouveau blog.
Joli poème sur l'amour...
ton blog est joli Gwen, tout en douceur, j'aime bien...
bonne journée à toi...
Longue vie à ton nouveau blog. J'aime bien le look.
Et merci pour tes encouragements à propos de l'Espace 34
Je suis fascinée par les orages.
j'apprécie d'autant plus ton poème.
Une ombre de douceur, j'en suis sûr!..
Bonne rentrée Gwen. Beijinhos.
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